Oui, nous faisons partie du monde rural, et c’est une chance ! Mais il faut accepter les distances à parcourir et la dispersion géographique, voir les enfants partir pour leurs études, et bien d’autres choses.

En Église, il faut aussi « faire avec », ce n’est pas toujours facile ! Le risque est l’isolement, alors que nous sommes invités, par notre foi, à nous ouvrir au monde.
Ce monde parfois difficile à comprendre, à accepter, et qui porte tout de même tant de richesses cachées, qu’il faut aller découvrir.

Depuis plusieurs années, les évêques de France en sont conscients. C’est dans cet esprit qu’une délégation se rend au salon de l’agriculture, et que des textes ont été diffusés.

Deux rencontres auront lieu prochainement pour permettre que les chrétiens du monde rural se rencontrent, échangent, partagent leur expérience d’Église. Et nous y serons représentés.

Les 27-28 mars, ont lieu « LES RENCONTRES DE GIEL » dans l’orne. Ouvertes à tous. Deux d’entre nous y étaient déjà en 2019, et deux y seront encore cette année, Marcelle et Claude Guillo, de Landévant.
De multiples présentations, des ateliers d’échange, des stands, qui permettent de découvrir des initiatives très diverses, qui peuvent nous étonner, mais aussi nous donner des idées et nous encourager.

Les 24-25 avril, « TERRES D’ESPÉRANCE, une rencontre exceptionnelle de 800 personnes de tous les diocèses de France qui aura lieu dans la Drôme.
Pour y aller, nous avons proposé de témoigner de la démarche faite depuis plus d’un an dans notre doyenné : « NOTRE ÉGLISE DEMAIN… ENTRE NOS MAINS ».
Et deux d’entre nous y seront également, Brigitte Gugliandolo et Gérard Flesch, car notre proposition a été retenue pour le diocèse de Vannes.
Là aussi, un immense forum nous permettra de découvrir 130 initiatives du monde rural. Et le doyenné de Pluvigner sera présent !

Alors, il y aura un retour pour vous tous !
Nous ne savons pas encore comment, mais une occasion sera donnée à ceux qui le souhaitent de profiter de ces deux rencontres. Nous mettrons à disposition du doyenné les témoignages que nous aurons rapportés, de la manière la plus vivante possible.
Nous en reparlerons avant l’automne.

26/2/2020 – GF