Des vacances pour prendre l’air, des vacances pour oublier le quotidien,
des vacances pour changer – de rythme, de lieu, d’environnement,
des vacances pour s’occuper de soi, se détendre et profiter des siens,
des vacances pour rapporter tant d’images et de souvenirs.

Oh, surtout, prenons-les si cela nous est possible,
prenons-les sans culpabilité, c’est le 7° jour de la création,
et Dieu n’avait pas pris sa voiture pour en profiter…

Mais mettons dans nos sacs les cinq objets de l’île déserte,
dont un pour nourrir notre foi,
et n’oublions pas tout, nous pourrions ne plus revenir à nous,
et sachons accueillir toutes ces nouveautés, toutes ces rencontres imprévues,
pensons à nous laisser façonner par l’amour du Christ,
l’argile dont nous sommes pétris n’est pas encore cuite, merci Seigneur.

Soyons heureux, pour l’être avec les autres,
soyons détendus, pour l’être pour les autres,
soyons joyeux d’être allés jusqu’où nous ne pensions pas pouvoir aller,
et rapportons autour de nous tant de richesses à donner
qu’il faudra bien vite y retourner.

G.F.

2017/07 – GF