Le sacrement des malades apporte un réconfort dans l’épreuve de la maladie, du handicap, de la souffrance psychique.
Le Seigneur se fait proche de la personne éprouvée, Il lui donne sa tendresse et sa miséricorde.
La miséricorde est « l’expérience de l’Amour de Dieu qui console, pardonne, et donne l’espérance. » (Pape François, le visage de la miséricorde, § 3)

Je peux demander ce sacrement lorsque…

  • Ma santé commence à être sérieusement atteinte par la maladie – physique ou psychique – par la vieillesse, par le handicap ;
  • J’apprends que j’ai une maladie grave, même à évolution lente ;
  • Je vais subir une opération risquée ;
  • Ma convalescence est difficile et longue, je perds courage.

Le sacrement peut être demandé plusieurs fois, si de nouvelles circonstances apparaissent (rechute, aggravation, nouvelle maladie).

Il est demandé par le malade, et préparé avec le prêtre.
Il peut aussi être reçu au cours d’une célébration communautaire.
Ce n’est pas un sacrement de fin de vie : l’accompagnement des derniers moments donne lieu à des gestes particuliers.

Deux gestes du prêtre marquent ce sacrement :

  • L’imposition des mains sur le front de la personne, geste de présence du Christ qui donne sa tendresse, son pardon, son amour ;
  • L’onction d’huile, sur le front et sur les mains, geste d’éveil par le Christ de l’intelligence et de l’activité du corps.

Vous pouvez contacter :
le  presbytère du doyenné
le correspondant du GAP de votre paroisse

2017-03 – GF